Tout le mal qui nous assaille réside dans notre désir ardent de posséder. Moins on a de biens, mieux on se porte. Malheureusement peu de gens le comprennent. La volonté de posséder est toujours plus forte. Or, c’est ce déferlement accru vers l’accumulation des biens qui à l’origine de nos déboires, de l’affaissement de notre esprit. La santé mentale et la santé physique subissent de plein fouet le stress de la crainte de la dépossession. À la valeur d’usage du nécessaire s’est substituée la valeur du paraître, de l’accumulation, du superflu, qui finalement nous ramène à notre état primitif, des bêtes qui font seulement usage de leur instinct grégaire !
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